Le phénomène de radicalisation est devenu une préoccupation nationale qui concerne également l’UNADFI. Les techniques de manipulation mentale utilisées par les organisations jihadistes sont comparables à celles connues dans le phénomène sectaire.
Catherine Picard, présidente de l’UNADFI, relève que le dénominateur commun est l’emprise mentale qui s’exerce en trois étapes :
– La séduction au travers de propositions adaptées aux aspirations des jeunes de 17 à 25 ans ;
– La destruction des repères des individus avec pour objectif la rupture avec leur environnement et avec le reste du monde ;
– La reconstruction selon les normes des recruteurs.
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