L’association chrétienne des Frères de Plymouth a fait l’acquisition d’un pavillon à Lagny-sur-Marne (Seine-et-Marne) afin d’y créer un lieu de culte. Cette implantation a fait l’objet d’un débat lors du conseil municipal du 2 décembre 2019. Lire la suite
Frères de Plymouth
Règlement à l’amiable
Ian Mc Kay, ex adepte des Frères de Plymouth et ancien conférencier de l’Université de Glasgow, risque d’avoir à payer d’importants frais d’avocat après le règlement à l’amiable d’un conflit qui l’opposait à une association anglaise et une entreprise australienne liées aux Frères de Plymouth. Lire la suite
Un ancien membre poursuivi en justice
Une branche australienne des Frères de Plymouth, Exclusive Brethren (ou Plymouth Brethren Christian Church), poursuit en justice Ian McKay, un ancien conférencier de l’Université de Glasgow et ex-adepte du groupe. Selon eux, McKay aurait violé des droits d’auteurs par des citations et des reproductions de carnets d’adresse du groupe.
Construction d’un lieu de culte, le maire s’oppose au projet
Le maire de Neyron (Ain), s’oppose au projet de construction d’un lieu culte dans sa petite ville de 2 000 habitants. En effet, les Frères de Plymouth envisagent, d’ici 2020, de faire construire un bâtiment pouvant accueillir jusqu’à 1 000 fidèles. Un terrain boisé de 8 hectares, situé en bordure de l’autoroute A 46, devrait accueillir un édifice de 16 000 m2 comprenant une salle de conférence de 747 m2 et 880 m2 de locaux destinés à l’accueil, aux sanitaires et à la maintenance.
Difficile d’être une femme chez les Frère de Plymouth
En Angleterre, Rebecca Stott, professeure de littérature à l’université d’East Anglia (Norwich) et spécialiste du darwinisme, a grandi au sein de la communauté des Frères de Plymouth. Elle témoigne de sa vie au sein du groupe dans un récit autobiographique publié aux éditions Fourth Estate en juin 20171.
« Jamais sans mes enfants »
Un ancien membre de la communauté des Frères de Plymouth de Port Elisabeth (Afrique du Sud) craint que ses enfants ne soient envoyés à l’étranger par le groupe. Depuis qu’il a été exclu du groupe pour avoir émis des doutes sur leurs règles de vie, il a dépensé près de 19 600 € en frais de justice pour que ses droits parentaux soient respectés.
La répartition des subventions est-elle vraiment équitable ?
Fairfax média, société australienne opérant dans le domaine des médias, a révélé que les écoles privées gérées par les frères de Plymouth reçoivent des financements trop importants de l’État fédéral et du gouvernement de Nouvelle Galles du Sud. Le montant de ces subventions pour les onze campus de l’école s’élèverait à plus de 10 000 dollars par étudiant et par an soit 800 dollars de plus que ceux de la Home Bush Ouest, l’une des écoles les plus pauvres de Nouvelle Galles du Sud.
Abus sexuels
L’étude de la chercheuse britannique, Jill Mytton a montré qu’en Nouvelle Zélande quatre membres des Frères de Plymouth sur dix interrogés, affirment avoir vécu durant leur enfance des expériences traumatisantes d’abus sexuels. La proportion des enfants sexuellement abusés dans cette communauté est largement plus élevée que dans le reste de la population et plus particulièrement dans celle de Nouvelle Zélande.
Un traumatisme durable
Le Dr Stanton, célèbre nutritionniste américaine, a raconté son enfance au sein des Frères de Plymouth. Quarante ans après s’en être échappée, elle décrit cette partie de sa vie comme un traumatisme durable.
« La mort plutôt que le tourment »
S’adressant à un jeune homme de 25 ans en contact avec d’anciens membres, Bruce D. Hales riche leader mondial de la communauté des Frères de Plymouth, a affirmé qu’il ferait mieux de s’empoisonner que de se laisser tourmenter par les adversaires de La vérité.