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Santé : la folie des médecines douces

La Tribune de la Santé consacre un dossier élaboré avec le concours de plusieurs médecins sur ces médecines dites « traditionnelles » qui bousculent la médecine conventionnelle. Perçues comme moins toxiques, moins polluantes, moins invasives, elles sont considérées par 10 % des Français « comme l’une des découvertes majeures des vingt-cinq dernières années ». Certains hôpitaux les ont même adoptées « en complément ». Trois articles composent ce dossier.

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Belgique / Point de vue sur l’ostéopathie

Les organisations professionnelles et des formations académiques belges ont fait savoir à la ministre de la Santé, Laurette Onkelinx, qu’ils ne sont pas favorables à la reconnaissance de cette thérapie alternative, sans aucun fondement scientifique. Ils ont tous co-signé un document par lequel ils s’opposent à :
 

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Internet amplifie la menace sectaire

Selon le dernier rapport de la MIVILUDES, publié le 19 mai dernier, Internet constitue un champ d’intervention pour des « lobbies pro sectaires » dont « la mission principale est de contester le bien-fondé de l’action des pouvoirs publics.
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Les « autres médecines » avec discernement

De plus en plus de malades « et de bien-portants » recourent aux médecines dites alternatives telles la naturopathie, la kinésiologie, l’auriculothérapie…

Ces disciplines seraient au moins 400 en France d’après la MIVILUDES. Georges Fenech, son président, précise comment procéder pour savoir si une pratique présente un risque sectaire. Il est ainsi recommandé de s’assurer que le psychothérapeute consulté figure bien dans un registre départemental sur lequel ne sont inscrits que les psychothérapeutes reconnus. Ensuite, il faut repérer si le thérapeute ne tient pas un discours anti-médecine conventionnelle et s’il ne présente pas son traitement comme une médecine de substitution. Enfin, il faut réagir si les tarifs sont excessifs. « Lorsque chaque nouvelle consultation est plus chère que la précédente ou quand le thérapeute propose des stages ou des cures à plus de 1.000 euros, il faut se méfier », conseille Georges Fenech.

Rappelons que le ministère de la santé a mis en place un groupe d’appui technique en février 2009, composé de 30 personnalités de diverses institutions, « il est chargé de recenser, d’identifier et d’évaluer les pratiques pour ensuite informer le public ».

Source : Direction Générale de la Santé & Interview de Georges Fenech repris par le site internet destinationsante.com, 02.02.2011

Dossier réalisé par le Direction générale de la Santé consultable en ligne.

 

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