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« L’ Affaire Nathalie Getliffe »

En 2001, la française Nathalie Gettliffe avait fui le Canada emmenant ses enfants, en contravention d’une décision de justice canadienne, un délit passible de dix ans de prison. Elle assurait vouloir les soustraire à l’influence de leur père canadien, Scott Grant, qui fait partie de l’Eglise du Christ Internationale, considérée comme une secte en France. Cinq ans plus tard, un mandat d’arrêt international était lancé contre Nathalie Gettliffe et une décision du Tribunal de grande instance de Privas (Ardèche) ordonnait le retour des enfants au Canada.
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« La dérive des médecins de l’âme »

Une information judiciaire est actuellement en cours au tribunal de Castres. Un couple, Myriam et Pascal, ont porté plainte en 2005 pour « abus de faiblesse » à l’encontre de la Communauté des Béatitudes. Ils déclarent avoir été les victimes d’une « théorie psycho-spirituelle dangereuse », expliquant qu’ils ont été « manipulés, infantilisés, au point de finir complètement déstructurés ». Interrogée, la secrétaire générale de la MIVILUDES, Catherine Katz, parle « d’emprise mentale et de ruptures familiales ».

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La secte Raël perd son procès contre un journal suisse

Le Mouvement Raëlien a été condamné à payer 6.080 Francs suisses (3.700 euros) au quotidien suisse, La Liberté.

Le journal avait publié en 2005 un article qui soulignait le message de soumission féminine promu par la secte et rappelait les positions raéliennes sur le clonage et ses relents d’eugénisme. Le Tribunal civil de l’Est vaudois a estimé que chacune de ces « dérives idéologiques » est effectivement prouvée par la littérature raélienne.

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Que sait-on de ? Brahma Kumaris

En 1936, à la suite d’une expérience spirituelle intense, (une vision de destruction du monde et un contact direct avec le dieu Shiva l’Ame Suprême) Lekh Raj Kripalani, un riche diamantaire indien, fonda le mouvement des Brahma Kumaris (BK). Appelé Brahma Baba par ses adeptes, Dada Lekh Raj continua à recevoir la « connaissance » de Shiva et à en retransmettre les murlis (messages) à ses adeptes. Il confia l’organisation du mouvement à un groupe de 9 femmes.
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Scientologie : le verdict

Le 27 octobre 2009, le tribunal correctionnel de Paris a reconnu la Scientologie coupable « d’escroquerie en bande organisée ». Il a condamné les deux personnes morales : l’Association spirituelle de l’Eglise de Scientologie-Celebrity Centre (ASES-CC) et la librairie Scientologie Espace Liberté (SEL), à des amendes respectives de 400.000 et 200.000 euros, reconnaissant dans le jugement que les méthodes utilisées par ces deux structures étaient « délictuelles ».
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