Le décret 2012-695 du 7 mai 2012 modifiant le décret n°2012-534 relatif à l’usage du titre de psychothérapeute vient d’être publié.
Le décret apporte aux dispositions régissant l’usage du titre de psychothérapeute les modifications suivantes :
Le décret 2012-695 du 7 mai 2012 modifiant le décret n°2012-534 relatif à l’usage du titre de psychothérapeute vient d’être publié.
Le décret apporte aux dispositions régissant l’usage du titre de psychothérapeute les modifications suivantes :
Les poursuites de quatre femmes souhaitant intenter un procès au Centre de soins de Castelwood dans la banlieue de Saint-Louis, pour implantation de faux souvenirs et incitation au culte satanique, devraient être abandonnées.
Lire la suite
Un jeune homme, toxicomane, âgé de 26 ans est mort à Voulte en Ardèche au début d’un « stage à l’iboga », organisé par l’association Meyaya.
Lire la suite
Jean B., 85 ans, se disait « psychagogue » et ses séances combinaient réflexion intellectuelle, bien-être corporel et sexualité. Accusé de viols sur quatre anciennes patientes entre 1990 et 1998, il était jugé devant la cour d’assises de Paris.
Lire la suite
De plus en plus de malades « et de bien-portants » recourent aux médecines dites alternatives telles la naturopathie, la kinésiologie, l’auriculothérapie…
Ces disciplines seraient au moins 400 en France d’après la MIVILUDES. Georges Fenech, son président, précise comment procéder pour savoir si une pratique présente un risque sectaire. Il est ainsi recommandé de s’assurer que le psychothérapeute consulté figure bien dans un registre départemental sur lequel ne sont inscrits que les psychothérapeutes reconnus. Ensuite, il faut repérer si le thérapeute ne tient pas un discours anti-médecine conventionnelle et s’il ne présente pas son traitement comme une médecine de substitution. Enfin, il faut réagir si les tarifs sont excessifs. « Lorsque chaque nouvelle consultation est plus chère que la précédente ou quand le thérapeute propose des stages ou des cures à plus de 1.000 euros, il faut se méfier », conseille Georges Fenech.
Rappelons que le ministère de la santé a mis en place un groupe d’appui technique en février 2009, composé de 30 personnalités de diverses institutions, « il est chargé de recenser, d’identifier et d’évaluer les pratiques pour ensuite informer le public ».
Source : Direction Générale de la Santé & Interview de Georges Fenech repris par le site internet destinationsante.com, 02.02.2011
Dossier réalisé par le Direction générale de la Santé consultable en ligne.
En proie à de terribles angoisses, Sébastien, alors âgé de 33 ans, avait consulté un psychiatre. Ce dernier l’avait alors dirigé vers une thérapeute spécialisée en Gestalt (psychothérapie qui vise à la résolution des troubles émotionnels et comportementaux).
Lire la suite
Durant son procès pour agressions sexuelles sur trois de ses clientes, André Hébert, « hypnologue », a déclaré que, dans cette histoire, c’est lui la victime. « D’un quotient intellectuel limité », ses femmes lui avaient demandé de les caresser, choisissant de préférence leurs seins ou leur sexe. L’accusé, âgé de 50 ans, a toutefois admis avoir pincé les mamelons d’une cliente, mais c’était «pour faire passer l’énergie».
Lire la suite
L’utilisation de plus en plus répandue par des mouvements à caractère sectaire nocif de thèmes de « santé » et de différentes prises en charge « thérapeutiques », leurs publicités voire banalisation au sein des médias, méritent réflexions et clarifications.
Le 25 janvier 2010, Claude D. comparaissait devant le tribunal correctionnel de Toulouse, accusé d’agressions sexuelles et de violences sur mineurs.
Lire la suite
La jeune femme qui raconte ici son expérience est venue trouver l’ADFI dans un but de prévention, pour mettre en garde contre une fausse thérapie.
Son témoignage nous permet, une fois encore, de souligner l’importance de prendre des précautions avant de s’engager dans une thérapie. Les familles, si éprouvées et impuissantes face à la mise sous emprise d’un de leurs proches, trouveront dans cet exemple la confirmation qu’elles ont raison de garder toujours le contact, dans l’attente d’une prise de conscience au cours de laquelle leur présence et leur soutien seront précieux.
Ce témoignage a également été recueilli par un journaliste de la Tribune de la Santé.
Copyright ©2024 UNADFI. Tous droits réservés. Les textes ou ouvrages mentionnés sont propriété de leurs auteurs respectifs. Crédits photos Shutterstock.
Association reconnue d'utilité publique, agréée par les Ministères de l’Éducation Nationale et de la Jeunesse et des Sports, membre associé de l'Union Nationale des Associations Familiales (UNAF). L'Unadfi est signataire du contrat d'engagement républicain (CER).
Mentions légales - Politique de confidentialité - Conditions générales d'utilisation - Conditions générales de vente - Flux RSS - Cookies
Ce site est protégé par reCAPTCHA de Google : Confidentialité - Conditions.